Mettons-nous bien d’accord sur un point : aussi virulentes que puissent être certaines critiques contenues dans ce blog, l’être le plus pathétique à y être nommé n’est que son auteur.
Trouver son idiot intérieur, la quête ultime de la méthode du pédagogue de théâtre Jacques Lecoq, voilà notre nouvelle tâche pour aborder le rivage de Mozart et Lorenzo da Ponte, rire de nos défauts pour accepter de jouer le jeu de la comédie humaine. Margaux, Roseline, Marine et Dylan jouent parfaitement le jeu, chantant en playback sur la voix de Charlotte Margiono et Gilles Cachemaille dans l’enregistrement effectué par Nikolaus Harnoncourt. Les images du film prennent corps, comme dans les plus beaux rêves de cinéastes, filmer l’avènement de l’art chez les comédiens.